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21 février 2024 3 21 /02 /février /2024 02:59

Après Annie Cordy, Jean Lefèvre, Sim et Jean-Marie Bigard, je suis heureuse d'avoir la sacro-sainte Légion d'Honneur pour que brillent l'intelligence et la culture française  au Panthéon des gloires françaises après avoir tant glorifier le zizi de Pierre Perret et le canard de Fabrice.

Napoléon, le grand Napoléon institua la Légion d'Honneur pour récompenser les zouaves qui s'étaient brillamment illustrés lors des guerres napoléoniennes sur les champs de bataille, batailles idéologiques comme Annie Cordy, Jean Lefèvre, Sim, Jean-Marie Bigard, Pierre Perret et l'illustre Fabrice qui les donnèrent victorieuses, moi, aussi je me suis sacrifiée pour la Nation française qui révèle les hommes et les femmes qui ont fait sa gloire, qui égosille une chansonnette à l'Eurovision, qui tapote dans un ballon, qui empoche les subventions départementales pour une entreprise qui n'a pas fait tout à fait faillite en licenciant cinq mille personnes.

La Gloire de la France, voilà, ce que symbolise la Légion d'Honneur, et c'est cet honneur, M. le Président de la République depuis 35 ans, dont je viens rajeunir le vivier des vos décorés glorifiant l'intelligence française  et qui gratifie d'une épingle rouge ma robe de soie blanche et pure comme les Français. N'entachez pas d'auprobes ce pourpoint car la France est une Nation indivisible  et égalitaire et tout le monde peut prétendre à la légionnéose, si ce n'est par pire, que nos officiers de haut rang servent sous les drapeaux.
Merci M. le Président de la République de m'honorer de cette tare et vive la France qui se magnifie à tout jamais.
Vice la France, Merci !

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24 mai 2022 2 24 /05 /mai /2022 08:44

Chères Premières Années, vous voici enfin arrivées à l'aube de l'âge adulte, à la fin de l'âge bête et ingrat, dans la jungle, oui, la jungle fleurissante des Unités de Valeur, des partiels, contrôles, oraux, et autres flicages, et dans la poussières, fumées et gobelets vides traînant dans les amphis surpeuplés, non aérés et sales, emprisonnées ; mais vous êtes heureuses, heureux d'accéder à l'enseignement supérieur, l'Université, cette Mecque du savoir, où des ayatollahs agrégés vous asséneront à mots voilés des prêches enflammés pour vous accueillir les bras ouverts... enfin presque...

Apprenez, vous êtes ici pour apprendre... à gober les mouches, apprenez que si, au début de l'année, vous êtes nombreux dans les salles surchauffées par le soleil d'octobre, ou dans les couloirs trop étroits... en fin d'année, les choses aidant, ce sera une autre paire de manche, les choses auront évoluées et vous serez, peut-être, ce dernier étudiant qui s'accroche à sa chaise tel un mollusque univalve sur son rocher battu par les vents et fouetté  par la houle des marées, pour terminer l'année  seul.  (un seul être vous manque et tout est dépeuplé ).

Apprenez, apprenez, vous êtes ici pour vous bourrer le crâne de balivernes, apprenez, vous dis-je qu'aux partiels et autres interrogatoires, on ne vous demandera pas toujours votre photo pour vous noter car on ne donne pas une bonne note à une tête d'assassin, les professeurs ont déjà des gueules de repris de justice ou de oie blanche..

Notez, notez bien, vous êtes ici pour prendre des notes, notez sans fautes (quel malheur !) vous dis-je que vous n'êtes pas toujours installés, le grand mot, dans les couloirs de la fac pour faire entre un et trois partiels dans le même journée, c'est exceptionnel ! Non quelquefois, vous irez à la cave douillettement à côté de la chaufferie.

Enfin, car tout à une fin, Chère Premières Années, prenez votre courage à deux mains et joyeux chemin de Croix pour comprendre le sermont sur l'autoroute du savoir qui mène à Pôle Emploi ! Vaines connaissances !

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24 mars 2021 3 24 /03 /mars /2021 12:56

Le mois de mai état ensoleillé sur les visière à Badiya,

L'aviation russe rasait le sol sableux.

Assapov dirigeait rigueur et rigueur.

Badiya brûlait sous le soleil cuisant.

Aux portes de Resafa au grand taffta du ciel.
Le champ Haïl fustige le feu et la haine.

En revanche, à Maadame contre-attaque.

Des hommes à l'est de Hama et Homs.

L'année ne finit sa carrière dans le soleil arriéré rutilant.

Positions reprises, positions perdues.

Comment dire la douleur de Boukamal

Deux milles enjambent l''Euphrate.

Attaques, contre-attaques sans rédition.

Hezbollah, islamistes comptent leur perdition.

Le maillon de Mayadine n'est pas noué.

Combien de morts de ces milliers ?

Qui sont venus mourir et prier ?

Au festin des chiens errants parias,

Dites-moi que ce n'est pas ici mais là-bas !

 

 

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23 mars 2021 2 23 /03 /mars /2021 12:16

J'ai un pote âgé, très cultivé et très piquant. Il écrit dans une feuille de choux. Qu'est-ce qui peut débiter comme salades, ne magnant ni la chèvre ni le choux. Il a les cheveux frisés comme une Romaine, il ne mâche pas ses mots, ses attaques sont des roquettes, le laie tue.

Connaissez-vous Philippe Pouilloux et, sa femme, Mauricette Pouilloux... (Demandez la suite à E. Marinello).

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20 août 2020 4 20 /08 /août /2020 11:08

A Babacco, il y avait un petit chat noir que la maman chatte n'aimait pas dans sa portée, elle préférait ses chatons de gouttière à la boule de poiles noirs, et la maîtresse de maison, aussi,  le craignait croyant aux superstitions, elle n'était pas avare de coups de balais  et de la maltraitance du torchon. Il vint le temps où il se décida de partir dans la forêt à la recherche de sa nourriture dont Dame Nature lui prodigua. Il prit force auprès d'une pie d'une vache zébu, et au bout de deux mois, il avait tant cru qu'il devint la plus splendide et la plus vigoureuse panthère noire du paysage. Et jamais chat noir ne fut plus admirer des chasseurs  et des paysans, rabattant leurs troupeaux. Sa beauté et son élégance virent de lui le plus convoiter des félins de la contrée. Aucun petit enfant noir n'eut honte de sa couleur et au contraire était fière de faire parti de la race des seigneurs, des guerriers et des braves, des chasseurs et des bâtisseur du continent noir.
Le chat de gouttière protège le toit et le chat noir protège la village, chacun a son rôle pour chasser des greniers les souris et autres voleurs de grains.

Pour le petit chat noir devenu la seigneuriale panthère, la différence est une richesse et notre richesse s'est d'être à nul autre pareil. 

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21 février 2020 5 21 /02 /février /2020 16:46

Mlle Beaujolais, vendeuse d'eaux minérales ; M. Hypnose, psychologue voyeur ; M. Echardes, charpentier d'Eglise ; M. Militaire, tueur de masse ; M. Bottin, juge d'instruction pas violent ; Mme Double, fildefériste ; M. La Mort, pédiatre renommé ; M. Près de ses Sous, notaire de famille ; M. Flou et Vaporeux, photographe évaporé ; M. Blabla, écrivain pas tenté par le fric ; M. ça sent le brûlé, chef cuisinier au Plazza Athéna ; M. Je retiens Un, expert comptable auprès du Tribunal de Grande Démence ; M. Parpaings, architecte futuriste ; M. Canard, entraîneur des poussins et des tritons ; M. Cracha, épidémiologiste ; M. Biftons, banquier honnête ; Mme Muette, cantatrice soprano colorature ; Mme Caries, dentiste en prothèses mamères ; M. Assassin, médecin gériatre ; Mme Ragot, journaliste éditorialiste à Médiaporte, et la porte tu vas la prendre, vite fait, vlan ; M. Plâtre, radiologiste rééducateur ; M. Microscope, policier scientifique en recherche micro ; M. Gifle, éducateur spécialisé et spécialement tendre avec les trisomiques ; M. Crache, pilote d'avion sur la ligne Creuzo et les Mines ; Mme Morsures, vétérinaire enragée ; M. Australopithèque, archéologue contemporain ; M. Chardon, mineur de fondue ; MM. Voleurs, réalisateurs de cinéma théâtreux ; M. Aphone, curée de paroisse vide ; M. Pédophile, sage-femme ; M. Sourd dingue, ingénieur du son. Voici les métiers d'avenir qui dans un pourcentage intéressant aboutisse à la fortune, si les demandeurs d'emploi fainéants voulaient se donner de la peine comme dit Emmanuel.

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11 mai 2019 6 11 /05 /mai /2019 14:11

(Extrait de "Les mains de Manuel")

En quête de vérité, Manuel se pencha sur la margelle du puits, il ne vit qu'un trou noir d'anti-matière d'une force centripète et sortant de ce monde glacé, il leva la tête les yeux pleins de néant : "Est-ce là la définition du Non-Etre ?" se demanda-t-il.
Puis après avoir rendu une dernière visite à Samuel, il quitta la ville. "Allez Le Vaillant !" son cheval prit son petit trot habituel.

Manuel passa part Nîmes pour se restaurer et admira les vestiges romains des thermes tout à sa réflexion dur la relativité du temps, il reprit son chemin.

Puis, il aperçut dans la brume d'un matin une fortification qui se dressait devant lui, à l'aube. Il se mit debout sur ses étriers et regarda au loin et s'adressant à son cheval, il lui dit : "Vois Le Vaillant, c'est Montpellier et là l'Université de Médecine !"

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7 avril 2019 7 07 /04 /avril /2019 12:06

Je n'avais pas de chaussures

et les cailloux du désert sont bien dures

La mer est profonde, moi qui ne sera jamais plus gai

Si par la providence j'avais une pagaie

Je n'ai pas de chaussures

Paris, ville mille merveilles, m'émerveille

Rien de vaille, il faut que je veille

Je ne trouve pas de chaussures

dans la boue des buissons de Calais

Les gens se moquent de mon teint halé

Je ne sais où dormir où aller

Si j'avais des chaussures je ferai la manche

Cela coûte cher de traverser la Manche

Je n'ai plus besoin de chaussures

Pour cette fin de vie que j'endure

La mer est profonde, amère et sure.

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9 juin 2018 6 09 /06 /juin /2018 07:51

La comptable M. Delmas de la juge des tutelles :

- Mais un yaourt, c'est trop cher ! Prenez un petit Suisse nature marque distributeur sans sucre, ça fait grossier et c'est mauvais pour la glycémie, et pas de viande, malheureuse, c'est cancérigène, et le poisson est pleins de mercure.Mangez du pain blanc, c'est moins cher aussi. Pas de pâtes, à 3 euros le paquet, vous êtes folle, mangez des carotte 0,69 centimes le kilo. Il faut bien que je me paye, je pourrais acheter une cinquième voiture. Voyez, vous êtes pauvre, mais je serai vous restreindre. Je pense à mon meilleur coup, un jacpote, c'est d'avoir pris l'immobilier d'une vieille et de l'avoir mis dans sa merde à l'hospice, sans optique, sans dentier, sans coiffeur, sans change, sans soins, sans rien. Qu'est-ce que je me suis fait, je me suis refait entièrement. Quelle économie ! Le prix d'une voiture de luxe !

La victime - Qu'est-ce que je vais manger, maintenant ? Vous racquétez les gens et vous les mettez dans l'indigence !

- Et bien, 100 g de carottes sans beurre, c'est mauvais pour le cholestérole, un petit Suisse et de l'eau du robinet, l'eau en bouteille c'est plein de pesticide !

- J'ai besoin de protéine ?

- Mais non ! Mais non ! Il y en a dans le petit Suisse, au moins 50 grammes dans un petit pot !

- Ah ! Bon ? Vous croyez ?

- Croyez-moi, je suis le meilleur comptable de l' D.A.P.M.E.

- Vous regardez jamais mes compte, vous venez une fois par mois les mains dans les poches, j'ai failli être à découvert à cause de vous !

M. Delmas - Vous paierai les agios, je suis très pris par l'entretien de mes voitures, j'avais oublié vos prélèvements de loyer !

La victime - Vous séquestrez mes biens sans que j'ai droit de regard !

M. Delmas - Le Droit, c'est moi, vous en aurez moins mal aux yeux !

La victime  - L' A.D.P.M.E sont des raquetteurs !

M. Delmas - Oui, mais en chaussures vernis !

La victime - Moi, j'ai qu'une paire de chaussure !

M. Delmas - Vous allez vous plaindre, de n'être pas partie en vacances depuis 1998, d'ailleurs vous avez raison, la Méditerranée est pleine de plastique et d'obèse huileux et boutonneux. Vous êtes plus heureuse à regarder la T.V. pour arriéré mentaux comme dans les hospice ou les hôpitaux !

La victime - J'ai acheté un livre pour pour 3 euros chez le bouquiniste.

M. Delmas - Malheureuse la culture est néfaste. Lire rend stupide et absorbé. Vous ne voulez pas vous coupez de la masse, ne lisez plus.

La victime - Je le fera plus !

M. Delmas - Regardez le journal de 13 heures, il ne parle de rien, ne représente rien et ne vaut rien, c'est le néant pour tout à chacun et avec ça vous pourrez en parler avec votre voisin des riens qui font pas grand chose si ce n'est un tout. Vous parlerez de tout et de rien ! Sans avoir l'air de rien, cela ne fait rien. Il n'y a rien de mieux que de parler entre bons à rien, ce n'est rien sans gêner en rien. Rien à dire, rien de tel pour parler. Ce n'est pas pour rien qu'on fait beaucoup de bruit pour rien.

M. Delmas - J'entends rien qui vaille, comme un rien-du-tout ! Comme vous êtes intelligent, M. Delmas, je regrette de n'être pas comptable !

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5 juin 2018 2 05 /06 /juin /2018 14:48

Tout change touchante,

Tu chantes, mon ange ?

Tu hantes mes antres

 Dedans Tout entre

Tout se dissout

Dessus dessous

Tes lourds dessous

Bout à bout s'émoussent

Tout chante touchante,

Tu changes mon anges...

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